Ou presque.

Demain, près de la Grande Halle de La Villette où se tient actuellement l’exposition sur Ramsès II, Benjamin Strickler et moi, seront en dédicaces pour notre livre sur le pharaon. Vous pourrez donc passer des trésors du pharaon à notre petit trésor !

Jedda, c’est une histoire qui a pour sujet de fond, le partage d’un bien commun : l’eau.

Cette histoire est la quête d’une adolescente se basant sur des contes aborigènes australiens. Une histoire qui me tient à cœur à bien des niveaux et qui vient d’être mise en valeur en recevant le Prix BD Jeunesse du Cabaret Vert. Merci au festival qui a organisé ce prix, mais aussi au 800 élèves et la la région et ses écoles qui l’ont rendu possible.

Jedda est passé de mains en mains, au milieu d’autres albums BD de qualité et même si Nicoletta et moi remportons ce prix, il ne faut pas oublier les autres finalistes qui ont forcément des BD de qualité.

Si vous voulez plus de détails sur ce prix, c’est par > ici <

Et si vous voulez qu’on en parle, je passerai donc au festival au mois d’août !

Depuis le temps, une mise à jour du site s’imposait.

Vous découvrirez un nouveau menu dans Histoire : Documentaires. Le premier sorti est “Ramsès le pharaon immortel” dans la collection Sens dessus dessous chez Delcourt.

Illustré par Benjamin Strickler !

 

Vous découvrirez aussi ma participation au magazine Sakado dans la rubrique Livre-jeu et en avant première, la couverture de ma prochaine bande dessinée “Boule de neige” qui sort  dans la collection Mini Bulles chez Nathan en Septembre… dessinée par Benjamin Strickler !

Nous sommes en septembre 2022 et je viens de recevoir mon dernier relevé de droits du premier semestre 2022 pour Ayati. Alors que nous sommes en train de terminer le tome 5, je découvre avec joie que nous avons vendu 18 822 exemplaires du tome 1. Merci à tous les lecteurs et lectrices, aux libraires aux médiathèques et au salon pour que cela ! Ayati n’est pas terminée, comme je  le disais, nous sommes entrain de travailler sur le tome 5 qui sortira en début d’année 2023. Et pour celles et ceux qui ont du retard, il y a toujours 4 tomes à (re)lire.

 

Ayati c’est une aventure avec ma dessinatrice et amie, Sandra Violeau. Nous avons grandi ensemble notre talent de création à travers cette première BD commune.  Et nous allons faire une pause après la sortie du tome 5, pour l’univers d’Ayati. Nous sommes en train d’élaborer un projet qui est parti chez les éditeurs. Sans en dire trop : une héroïne, des monstres et les années 20.

 

Chaque nouveau projet est une  nouvelle aventure, un risque, beaucoup de travail et de passion, et nous espérons qu’éditeur.ices et lecteur.ices seront au rendez-vous. Pour le moment, après plusieurs semaine à constituer un dossier, nous sommes dans la phase d’attente de réponse, un temps toujours trop long de ce côté de l’écran.

J’ai encore quelques créations BD en cours dont je ne peux pour le moment pas parler, mais j’espère pouvoir partager cela avec vous très bientôt. Entre deux, pour les passionnés de jeu, je serai à la convention Octogônes de Lyon, du 30 septembre au 2 octobre prochain avec des démos de D-Start Expert, sur l stand Open Sesame Games.

NB : ma BD Hazerka (Jungle/Steinkis) sur la vie du chanteur éponyme est bouclée et sortira normalement cet automne.

 

Fuyez le Demogorgon, ou même Vecna si vous voulez être dans l’humeur du moment. Ne vous faites pas emporter dans les tréfonds du monde d’en dessous, agissez en équipe…. N’oubliez cependant pas que chacun à un objectif secret. C’est ma proposition de jeu pour Stranger Things – Identité Secrète qui est sorti il y a quelques jours.

 

Dans ce jeu de plateau qui peut se jouer en 15 mn ou 30mn +, chacun interprète le rôle d’un.e des héor.Ïne.s de la série Stranger Things, et chaque personnage a son propre pouvoir. En début de partie, vous piochez au hasard, chacun un objectif qui reste secret jusqu’à ce que vous l’accomplissiez. Pour autant, il n’y a qu’un pion sur le plateau pour tous les joueurs.

 

À votre tour (vous êtes le joueur actif), chacun pioche une carte et les autres choisissent chacun une carte qu’ils placent face cachée sur la table, pour que vous en sélectionniez uniquement deux. Oui, il va falloir argumenter pour persuader le joueur actif de prendre (ou pas) votre carte, autant pour accomplir votre objectif que pour sauver le groupe. Quand c’est fait, le joueur actif mélange les cartes choisies pour ne pas savoir qui a donné quoi et il avance le pion suivant les cartes dévoilées (et ajoute éventuellement les points de corruption). Mais attention, ce n’est pas parce que c’est le tour d’un.e autre que vous n’avez pas le droit d’utiliser le pouvoir de votre personnage !

Stranger Things – Identité* vous propose donc un jeu semi-coopératif, avec de la stratégie, du hasard et du bluff. Bonnes parties !

 

*Aucun Demogorgon n’a été maltraité pour réaliser ce jeu.

Lien vers la page officielle : https://www.editions-larousse.fr/livre/stranger-things-identite-secrete-9782035976468

Il y a eu une époque, avant le COVID, à laquelle j’ai joué à quelques murder parties. C’est pour ça que vous me voyez là en noir et blanc, mais pas que… En effet, ma trogne est ici sans couleur car nous sommes dans les années 50, à New York City. Enfin, c’est le cadre de ce jeu. J’y jouais un agent immobilier de la ville, mais pas que, car comme souvent dans ce genre de jeu, le personnage que l’on incarne possède son propre objectif, pour son compte ou celui d’un groupe.

Mais alors c’est quoi une murder party, c’est une sorte de Cluedo, en mieux. Sur les plus classiques, vous jouez un personnage dans un huis clos, un meurtre a lieu et vous devez trouver qui est le coupable, souvent en accomplissant votre objectif personnel au passage. Parfois, votre personnage se moque du meurtre, mais en profite pour tenter d’accomplir une tâche personnelle : retrouver un objet, voler un document, négocier un héritage, payer une dette… Chacun ayant son propre objectif, l’histoire peut être très riche, menant à des situations inattendues (comme en jeu de rôle sur table).

En murder, on y va costumé et s’il doit y avoir des conflits physiques entre personnage, il y a une règle simple pour la résoudre. Soit un pierre/papier/ciseau, soit un personnage possède un pistolet (factice) et pas un autre, donc il gagne le duel. En tout cas des choses faciles et inoffensives.

Si je vous parle de murder ce jour, c’est que nous avons enfin le droit d’en refaire en respectant des normes sanitaires. C’est parce que c’est sympa, parce que c’est une autre manière de jouer un rôle, voire d’aborder le jeu de rôle de manière plus libre, c’est aussi un moyen pour celles et ceux qui aiment se costumer l’espace d’une soirée de se faire plaisir. Enfin, je dis une soirée, il m’est arrivé de jouer une murder l’espace d’un week-end. D’ailleurs, on parle de meurtre à résoudre, mais ce n’est pas aussi obligatoire. Et surtout, on y va pour jouer, pas pour gagner, ce qui en fait un enjeu très intéressant : juste jouer son rôle au mieux pour créer une histoire commune. Quand je pense à cette murder de NYC dans les années 50 avec des mafieux et des politiciens, on était véritablement en play to lose : jouer pour perdre. C’est quoi ? C’est cette manière de jouer, s’investir dans son personnage quitte à ce qu’il meure dans l’histoire afin de l’enrichir pour les autres joueurs car son caractère ou son historique vous pousse à cela. Et si je vous parle de cette murder c’est que vous avez une chance inimaginable : vous pouvez la jouer.

En effet, moi je l’ai déjà joué donc j’en connais les mystères, j’attendrais donc la prochaine murder du Chimerarium (http://lechimerarium.com/) . Mais vous, vous pouvez endosser un rôle américain des années 50 l’espace d’une soirée en plein cœur de Paris. De fait, je suis un peu jaloux de votre chance car c’est un super cadre de jeu dans lequel je m’étais bien fait plaisir pour son orga et ses joueurs et joueuses.

Foncez vous inscrire  par là :  https://www.facebook.com/events/599799914365717/

 

Mon roman Urban Garden vient de sortir il y a presque un mois aux éditions Glénat.

Ce roman est une « demi-commande ». C’est-à-dire que c’est avant tout une rencontre avec une chouette éditrice qui m’a proposé d –écrire pour cette nouvelle collection #Onestpret mais c’est moi qui est amené mon sujet. Je l’ai écris et c’est le retour éditorial et #Onestpret qui a recentré quelque point pour coller à la collection et perfectionner mon histoire. Pour vous dire, j’ai même du réécrire une bonne partie du roman avec un timing un peu serré pour être dans les clous. C’est toujours difficile d’accepter de revoir sa copie mais j’ai fait confiance à mon éditrice (Aude Sarrazin pour ne pas la nommer) : et vous savez quoi, elle avait raison !

Au passage, quitte à dévoiler un peu les coulisses de cette création (mais j’en ferai probablement un épisode de podcast un jour) , sachez qu’il y avait aussi une couverture totalement différente de prévue…. Celle que l’on découvre dans quelques médias qui ont reçu une version précorrigée en service presse. On est passé de bleu nuit et jaune à vert puissant !

 

 

Urban Garden parle de potager urbain… mais pas que. Comme c’est moi qui l’ai écrit, il y a un environnement très urbain, brut, des relations de gang et surtout des personnes qui se rencontrent et qui vont se découvrir plus ou moins facilement. Je vous l’ai dit, c’est un roman avec ma touche, donc on parle d’humain, de relation interhumaines et d’entraide. Je ne sais pas si j’ai terminé ma « phase » David Simon, un auteur dont j’apprécie grandement es créations mais avec Urban Garden, c’est une nouvelle fois l’occasion de lui faire un clin d’œil même si c’est moins appuyé que dans mon précédent roman Detroit (Gulf Stream éditeur).

En définitive, je suis très content de voir ce roman sortir, pour avoir eu une nouvelle relation professionnelle positive, pour continuer mon aventure éditoriale avec Glénat, et pour être une de ces petites gouttes d’eau de l’action océanique On est Prêt.

NB : même si on parle du mouvement #Onestpret et d’écologie, ce livre est avant tout une histoire.

 

Jedda est sortie en librairie le 3 juin 2021. Nous sommes le 9 et mon éditrice m’informe que nous lançons une réimpression. Je suis donc content du succès de ma BD avec Nicolettta Migaldi au dessin.

 

Aujourd’hui, je lance un projet un peu spécial.

L’idée m’est venue lisant un article sur un photographe normand qui n’a pu se rendre au japon à cause du COVID. Il a envoyé des appareils photos et certains lui sont revenus avec des clichés. Ainsi, afin d’abolir certaines frontières et revenir à un des piliers du jeu pour moi, le partage, j’ai décidé d’envoyer des carnets blancs à des game designer à travers le monde. Le but est de les remplir (notes, dessins, schémas, collages) d’astuce et expériences en game design afin de les partager ensuite dans un recueil. Ce dernier sera un pdf sur mon site, et je pense le vendre à 1 euro symbolique pour ensuite reverser les bénéfices à une association caritative qui aide les étudiants dans le besoin.

 

Les 5 premiers carnets partent cette semaine aux premières personnes qui ont répondu positivement à ce  concept : Benjamin Diebling (France), Mark Rein Hagen (USA), Simon Wasselin (Finlande), Matt Forebeck (USA) et John Wick (USA).

Merci à eux et j’espère qu’au final, ça intéressera pas mal de joueurs, joueuses, curieux et curieuses  et game designers.

Nb : j’aimerais bien inclure des game designers de genre autre que masculin, donc je suis preneur de toute proposition de participations.

Aujourd’hui, tous les fichiers de Peaky Blinders : le jeu de rôle sont partis chez l’imprimeur !

Après plusieurs mois de travail sous la direction de mon excellente éditrice Marion Dellapina, nous avons bouclé le jdr officiel de la série. Ce n’est pas sans une certaine fierté que moi, petit frenchi, j’avoue avoir bouclé ce chapitre créatif pour une série que j’aime beaucoup. Et si les lames du tarot s’alignent, le jeu sera même traduit dans la langue de Tommy Shelby.

Le jeu est présenté sous le forme d’une boite de découverte avec 3 livrets, deux dés (d8, d12), des jetons, des cartes a jouer, des aides de jeu, une écran de jeu et des cartes des lieux des scénarios…. De quoi mettre en selle de nouveaux et nouvelles rôlistes. Enfin, j’espère. Pour les Grands Anciens du jdr, c’est tout ce qu’il faut pour jouer dans l’esprit de l’univers des Shelby.

En effet, on s’adresse ici à de nouveaux joueurs et joueuses, mais pas sans un système de jeu dédié en prenant en compte le stress, la vie de gangster et les drames familiaux.

 

Plus qu’à attendre la réception de la boitte…