Je continue mes aventures ludiques avec les éditions Larousse. Merci au passage de leur confiance.
Je vais garder dans le tiroir les noms des licences signées mais je viens de signer pour 3 party games sur des série tv.

Je ne partage donc que mon plaisir de créateur sur de belles licences, pour le moment.
J’ai un réel plaisir à m’atteler à la conception de jeu sur des univers dédiés, certains que j’aime au premier visionnage et ceux qui ne sont a priori pas dans mes goûts mais que je découvre et apprend à aimer pour leurs qualités.
Pour le game design cela dit être tout public, tout en étant évidemment pour ceux qui apprécient la série concernée. E n plus, on doit être dans la partie rapide et fun. Et mon délais de création est assez court. Un beau challenge pou ce cahier des charges.
Je vous en reparlerai bientôt. Je ne laisse ici qu’un (gros) indice sur les univers concernés.

 

 

 

Aujourd’hui, 10 janvier 2024, je lance ce podcast afin de donner la parole aux créatrices et créateurs.

Les Gens de la Création c’est :

Le grand public voit la création, mais pas forcément qui a créé. Dans ce podcast, nous partons à la rencontre des créatrices et créateurs du domaine, du livre, du spectacle, du jeu vidéo, d’Internet, du jeu, des objets d’art, etc. Nous tenterons d’en savoir plus sur qui crée, pourquoi, si elles ou ils en vivent et comment ils et elles le vivent.

En cette période d’invasion des IA, j’espère donner la parole à un large spectre d’artistes, afin de montrer que derrière les œuvres, il y a des humains. Bien sûr, ce n’est pas un podcast contre une technologie. Pour moi c’est un podcast pour la parole des personnes, pour des individus variés.

Je travaille sur ce podcast depuis plusieurs mois maintenant, et j’ai déjà plusieurs enregistrement faits. Ils seront diffusés au rythme de 2 par mois : le 10 et le 20 de chaque mois. Et dans la mesure du possible, je maintiendrai une parité mensuelle.

Je profite de ce billet pour remercier également tous les créateurs et créatriccs qui m’ont fait confiance jusqu’à présent. En voici la liste à ce jour :

nb : vous trouverez un nouvel onglet sur ce site : Podcast

 

Afin de rattraper mon retard ici, il est temps de parler de mes deux derniers livres parus en octobre et novembre 2023 !

Commençons par Monstrueuse tempête, paru chez Scrinéo. Une histoire avec l’étiquette horreur mais pas si terrifique que cela. Un huis clos perdu au cœur de la montagne en plein hiver avec deux adolescents…. et un monstre. Émotions garanties !

Plus de détails par > ici <

 

Et aujourd’hui, sort mon documentaire narratif, avec Benjamin Strickler aux illustrations. Dans la collection Sens dessus Dessous, c’est le second opus sur l’Égypte ancienne, après Ramsès 2. Là, on s’intéresse aux momies : Mystérieuses momies. Qui sont-elles ? Comment sont-elles faites ? Pourquoi ? etc.

Une grande aventure pleine de mystères et de découvertes à partir de 6 ans.

Plus de détails par > ici <

Le temps coule ente nos doigts d’automne. Je vais donc tenter de rattraper le retard des news.

Parlons dans un premier temps, d’Enquêtes en cartes. Une série de jeux de cartes dans lesquels vous devez résoudre des enquêtes. Jeu solo ou à deux, l’un jouant la raison, et l’autre l’émotion, d’un même enquêteur. Vous devez cumuler assez d’indice pour que votre dossier soit valable devant le juge. Il y a une histoire de meurtre (« Dernières notes« ) et une de vol (« Les ptis plats« ). Vous trouverez cela dans le commerce ou directement sur le site de l’éditeur : Hachette Heroes.

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vous présente également Battle Quiz. Un jeu que Larousse m’a commandé avec plein de questions pour jouer en équipes. Ce n’est pas un simple questionnaire, il y a un système de jeu permettant de donner du rythme et d’avoir une fin aléatoire à chaque partie. Vous le trouvez aussi dans tous les points de ventes vendant des jeux et vous trouverez tous les détails sur le site de l’éditeur : Larousse.

La prochaine fois, je vous parle de lives : roman et doc narratif !

Ou presque.

Demain, près de la Grande Halle de La Villette où se tient actuellement l’exposition sur Ramsès II, Benjamin Strickler et moi, seront en dédicaces pour notre livre sur le pharaon. Vous pourrez donc passer des trésors du pharaon à notre petit trésor !

Jedda, c’est une histoire qui a pour sujet de fond, le partage d’un bien commun : l’eau.

Cette histoire est la quête d’une adolescente se basant sur des contes aborigènes australiens. Une histoire qui me tient à cœur à bien des niveaux et qui vient d’être mise en valeur en recevant le Prix BD Jeunesse du Cabaret Vert. Merci au festival qui a organisé ce prix, mais aussi au 800 élèves et la la région et ses écoles qui l’ont rendu possible.

Jedda est passé de mains en mains, au milieu d’autres albums BD de qualité et même si Nicoletta et moi remportons ce prix, il ne faut pas oublier les autres finalistes qui ont forcément des BD de qualité.

Si vous voulez plus de détails sur ce prix, c’est par > ici <

Et si vous voulez qu’on en parle, je passerai donc au festival au mois d’août !

Depuis le temps, une mise à jour du site s’imposait.

Vous découvrirez un nouveau menu dans Histoire : Documentaires. Le premier sorti est « Ramsès le pharaon immortel » dans la collection Sens dessus dessous chez Delcourt.

Illustré par Benjamin Strickler !

 

Vous découvrirez aussi ma participation au magazine Sakado dans la rubrique Livre-jeu et en avant première, la couverture de ma prochaine bande dessinée « Boule de neige » qui sort  dans la collection Mini Bulles chez Nathan en Septembre… dessinée par Benjamin Strickler !

Nous sommes en septembre 2022 et je viens de recevoir mon dernier relevé de droits du premier semestre 2022 pour Ayati. Alors que nous sommes en train de terminer le tome 5, je découvre avec joie que nous avons vendu 18 822 exemplaires du tome 1. Merci à tous les lecteurs et lectrices, aux libraires aux médiathèques et au salon pour que cela ! Ayati n’est pas terminée, comme je  le disais, nous sommes entrain de travailler sur le tome 5 qui sortira en début d’année 2023. Et pour celles et ceux qui ont du retard, il y a toujours 4 tomes à (re)lire.

 

Ayati c’est une aventure avec ma dessinatrice et amie, Sandra Violeau. Nous avons grandi ensemble notre talent de création à travers cette première BD commune.  Et nous allons faire une pause après la sortie du tome 5, pour l’univers d’Ayati. Nous sommes en train d’élaborer un projet qui est parti chez les éditeurs. Sans en dire trop : une héroïne, des monstres et les années 20.

 

Chaque nouveau projet est une  nouvelle aventure, un risque, beaucoup de travail et de passion, et nous espérons qu’éditeur.ices et lecteur.ices seront au rendez-vous. Pour le moment, après plusieurs semaine à constituer un dossier, nous sommes dans la phase d’attente de réponse, un temps toujours trop long de ce côté de l’écran.

J’ai encore quelques créations BD en cours dont je ne peux pour le moment pas parler, mais j’espère pouvoir partager cela avec vous très bientôt. Entre deux, pour les passionnés de jeu, je serai à la convention Octogônes de Lyon, du 30 septembre au 2 octobre prochain avec des démos de D-Start Expert, sur l stand Open Sesame Games.

NB : ma BD Hazerka (Jungle/Steinkis) sur la vie du chanteur éponyme est bouclée et sortira normalement cet automne.

 

Fuyez le Demogorgon, ou même Vecna si vous voulez être dans l’humeur du moment. Ne vous faites pas emporter dans les tréfonds du monde d’en dessous, agissez en équipe…. N’oubliez cependant pas que chacun à un objectif secret. C’est ma proposition de jeu pour Stranger Things – Identité Secrète qui est sorti il y a quelques jours.

 

Dans ce jeu de plateau qui peut se jouer en 15 mn ou 30mn +, chacun interprète le rôle d’un.e des héor.Ïne.s de la série Stranger Things, et chaque personnage a son propre pouvoir. En début de partie, vous piochez au hasard, chacun un objectif qui reste secret jusqu’à ce que vous l’accomplissiez. Pour autant, il n’y a qu’un pion sur le plateau pour tous les joueurs.

 

À votre tour (vous êtes le joueur actif), chacun pioche une carte et les autres choisissent chacun une carte qu’ils placent face cachée sur la table, pour que vous en sélectionniez uniquement deux. Oui, il va falloir argumenter pour persuader le joueur actif de prendre (ou pas) votre carte, autant pour accomplir votre objectif que pour sauver le groupe. Quand c’est fait, le joueur actif mélange les cartes choisies pour ne pas savoir qui a donné quoi et il avance le pion suivant les cartes dévoilées (et ajoute éventuellement les points de corruption). Mais attention, ce n’est pas parce que c’est le tour d’un.e autre que vous n’avez pas le droit d’utiliser le pouvoir de votre personnage !

Stranger Things – Identité* vous propose donc un jeu semi-coopératif, avec de la stratégie, du hasard et du bluff. Bonnes parties !

 

*Aucun Demogorgon n’a été maltraité pour réaliser ce jeu.

Lien vers la page officielle : https://www.editions-larousse.fr/livre/stranger-things-identite-secrete-9782035976468

Il y a eu une époque, avant le COVID, à laquelle j’ai joué à quelques murder parties. C’est pour ça que vous me voyez là en noir et blanc, mais pas que… En effet, ma trogne est ici sans couleur car nous sommes dans les années 50, à New York City. Enfin, c’est le cadre de ce jeu. J’y jouais un agent immobilier de la ville, mais pas que, car comme souvent dans ce genre de jeu, le personnage que l’on incarne possède son propre objectif, pour son compte ou celui d’un groupe.

Mais alors c’est quoi une murder party, c’est une sorte de Cluedo, en mieux. Sur les plus classiques, vous jouez un personnage dans un huis clos, un meurtre a lieu et vous devez trouver qui est le coupable, souvent en accomplissant votre objectif personnel au passage. Parfois, votre personnage se moque du meurtre, mais en profite pour tenter d’accomplir une tâche personnelle : retrouver un objet, voler un document, négocier un héritage, payer une dette… Chacun ayant son propre objectif, l’histoire peut être très riche, menant à des situations inattendues (comme en jeu de rôle sur table).

En murder, on y va costumé et s’il doit y avoir des conflits physiques entre personnage, il y a une règle simple pour la résoudre. Soit un pierre/papier/ciseau, soit un personnage possède un pistolet (factice) et pas un autre, donc il gagne le duel. En tout cas des choses faciles et inoffensives.

Si je vous parle de murder ce jour, c’est que nous avons enfin le droit d’en refaire en respectant des normes sanitaires. C’est parce que c’est sympa, parce que c’est une autre manière de jouer un rôle, voire d’aborder le jeu de rôle de manière plus libre, c’est aussi un moyen pour celles et ceux qui aiment se costumer l’espace d’une soirée de se faire plaisir. Enfin, je dis une soirée, il m’est arrivé de jouer une murder l’espace d’un week-end. D’ailleurs, on parle de meurtre à résoudre, mais ce n’est pas aussi obligatoire. Et surtout, on y va pour jouer, pas pour gagner, ce qui en fait un enjeu très intéressant : juste jouer son rôle au mieux pour créer une histoire commune. Quand je pense à cette murder de NYC dans les années 50 avec des mafieux et des politiciens, on était véritablement en play to lose : jouer pour perdre. C’est quoi ? C’est cette manière de jouer, s’investir dans son personnage quitte à ce qu’il meure dans l’histoire afin de l’enrichir pour les autres joueurs car son caractère ou son historique vous pousse à cela. Et si je vous parle de cette murder c’est que vous avez une chance inimaginable : vous pouvez la jouer.

En effet, moi je l’ai déjà joué donc j’en connais les mystères, j’attendrais donc la prochaine murder du Chimerarium (http://lechimerarium.com/) . Mais vous, vous pouvez endosser un rôle américain des années 50 l’espace d’une soirée en plein cœur de Paris. De fait, je suis un peu jaloux de votre chance car c’est un super cadre de jeu dans lequel je m’étais bien fait plaisir pour son orga et ses joueurs et joueuses.

Foncez vous inscrire  par là :  https://www.facebook.com/events/599799914365717/