Mon roman Urban Garden vient de sortir il y a presque un mois aux éditions Glénat.

Ce roman est une « demi-commande ». C’est-à-dire que c’est avant tout une rencontre avec une chouette éditrice qui m’a proposé d –écrire pour cette nouvelle collection #Onestpret mais c’est moi qui est amené mon sujet. Je l’ai écris et c’est le retour éditorial et #Onestpret qui a recentré quelque point pour coller à la collection et perfectionner mon histoire. Pour vous dire, j’ai même du réécrire une bonne partie du roman avec un timing un peu serré pour être dans les clous. C’est toujours difficile d’accepter de revoir sa copie mais j’ai fait confiance à mon éditrice (Aude Sarrazin pour ne pas la nommer) : et vous savez quoi, elle avait raison !

Au passage, quitte à dévoiler un peu les coulisses de cette création (mais j’en ferai probablement un épisode de podcast un jour) , sachez qu’il y avait aussi une couverture totalement différente de prévue…. Celle que l’on découvre dans quelques médias qui ont reçu une version précorrigée en service presse. On est passé de bleu nuit et jaune à vert puissant !

 

 

Urban Garden parle de potager urbain… mais pas que. Comme c’est moi qui l’ai écrit, il y a un environnement très urbain, brut, des relations de gang et surtout des personnes qui se rencontrent et qui vont se découvrir plus ou moins facilement. Je vous l’ai dit, c’est un roman avec ma touche, donc on parle d’humain, de relation interhumaines et d’entraide. Je ne sais pas si j’ai terminé ma « phase » David Simon, un auteur dont j’apprécie grandement es créations mais avec Urban Garden, c’est une nouvelle fois l’occasion de lui faire un clin d’œil même si c’est moins appuyé que dans mon précédent roman Detroit (Gulf Stream éditeur).

En définitive, je suis très content de voir ce roman sortir, pour avoir eu une nouvelle relation professionnelle positive, pour continuer mon aventure éditoriale avec Glénat, et pour être une de ces petites gouttes d’eau de l’action océanique On est Prêt.

NB : même si on parle du mouvement #Onestpret et d’écologie, ce livre est avant tout une histoire.

 

Jedda est sortie en librairie le 3 juin 2021. Nous sommes le 9 et mon éditrice m’informe que nous lançons une réimpression. Je suis donc content du succès de ma BD avec Nicolettta Migaldi au dessin.

 

Aujourd’hui, je lance un projet un peu spécial.

L’idée m’est venue lisant un article sur un photographe normand qui n’a pu se rendre au japon à cause du COVID. Il a envoyé des appareils photos et certains lui sont revenus avec des clichés. Ainsi, afin d’abolir certaines frontières et revenir à un des piliers du jeu pour moi, le partage, j’ai décidé d’envoyer des carnets blancs à des game designer à travers le monde. Le but est de les remplir (notes, dessins, schémas, collages) d’astuce et expériences en game design afin de les partager ensuite dans un recueil. Ce dernier sera un pdf sur mon site, et je pense le vendre à 1 euro symbolique pour ensuite reverser les bénéfices à une association caritative qui aide les étudiants dans le besoin.

 

Les 5 premiers carnets partent cette semaine aux premières personnes qui ont répondu positivement à ce  concept : Benjamin Diebling (France), Mark Rein Hagen (USA), Simon Wasselin (Finlande), Matt Forebeck (USA) et John Wick (USA).

Merci à eux et j’espère qu’au final, ça intéressera pas mal de joueurs, joueuses, curieux et curieuses  et game designers.

Nb : j’aimerais bien inclure des game designers de genre autre que masculin, donc je suis preneur de toute proposition de participations.

Aujourd’hui, tous les fichiers de Peaky Blinders : le jeu de rôle sont partis chez l’imprimeur !

Après plusieurs mois de travail sous la direction de mon excellente éditrice Marion Dellapina, nous avons bouclé le jdr officiel de la série. Ce n’est pas sans une certaine fierté que moi, petit frenchi, j’avoue avoir bouclé ce chapitre créatif pour une série que j’aime beaucoup. Et si les lames du tarot s’alignent, le jeu sera même traduit dans la langue de Tommy Shelby.

Le jeu est présenté sous le forme d’une boite de découverte avec 3 livrets, deux dés (d8, d12), des jetons, des cartes a jouer, des aides de jeu, une écran de jeu et des cartes des lieux des scénarios…. De quoi mettre en selle de nouveaux et nouvelles rôlistes. Enfin, j’espère. Pour les Grands Anciens du jdr, c’est tout ce qu’il faut pour jouer dans l’esprit de l’univers des Shelby.

En effet, on s’adresse ici à de nouveaux joueurs et joueuses, mais pas sans un système de jeu dédié en prenant en compte le stress, la vie de gangster et les drames familiaux.

 

Plus qu’à attendre la réception de la boitte…

 

Aujourd’hui, c’est la sortie en librairie de ma nouvelle BD : Jedda, L’esprit de l’eau (dans la collection Miss Jungle, chez Steinkis éditions).

Après un peu plus d’un an de travail et grâce au talent en dessin et couleur de Nicoletta Migaldi, l’album sort enfin juste avant l’été. Juste avant cette saison très chaude en lien avec l’histoire racontée. En effet, Jedda est un mélange de contes aborigènes australiens revisités ayant pour cadre une sécheresse. L’héroïne voyant son peuple se laissant aller à la discorde à cause du manque d’eau se lance dans une quête qui l’amènera à la rencontre de nombreux personnages animaux non humains et humains, esprits de la nature, etc.

Recherches de Nicoletta

Cette aventure pour le partage de l’eau à pour personnage principal une adolescente au caractère fort, mais à la différence d’Ayati, elle ne défait pas de méchants à l’aide de pouvoirs magiques. Jedda avance avec ténacité, apprend et résout l’adversité par la réflexion et avec l’aide de ses compagnons de voyage.

Jedda, L’esprit de l’eau est un récit en un unique tome qui j’espère fera voyager à bien des niveaux lecteurs et lectrices.

 

N.B. : le tome 4 d’Ayati est en cours et j’ai terminé les trois quarts du scénario pour une sortie au dernier trimestre 2021.

Depuis quelques jours, ente deux relectures de romans, une conception de jeu et un bouclage de JDR (oui, c’est le printemps pour mes éditrices aussi…), je suis entre ces deux chouettes adolescentes pour la BD.

Ce matin, j’ai terminé la relecture finale de l’album de Jedda et nous sommes en train d’intégrer les dernières corrections tout en ajustant la maquette de la couverture (que je vous dévoilerai en temps voulu). En parallèle, j’ai commencé l’écriture du tome 4 d’Ayati.J’en suis à une dizaine de planches, donc Sandra va s’y mettre dès que notre éditrice aura validé mon travail.

Je suis vraiment très content de travailler avec ces deux talentueuses dessinatrices, Nicoletta Migaldi (Jedda) et Sandra Violeau (Ayati). Et malgré leur style très différent, elles donnent vie chacune à leur manière à mes héroïnes. Je n’ai pas grand-chose à dire de plus que Jedda sortira avant l’été et Ayati pour le dernier trimestre 2021. J’espère que nous aurons la chance de continuer l’aventure Ayati sur encore quelques tomes car il y a encore beaucoup à révéler sur cet univers. Pour Jedda, c’est ce que l’on nomme communément, un one shot. Alors il faudra que je crée une nouvelle histoire pour retravailler avec Nicoletta.

Dans tous les cas, j’espère que vous serez au rendez-vous, car il devrait y avoir des surprises pour le tome 4 d’Ayati et j’ai hâte de vous faire voyager en Australie avec Jedda.

Je travaille sur ce jeu depuis quelques mois pour les éditions Larousse. Il devrait sortir durant le dernier trimestre 2021 dans toutes les bonnes boutiques. Ce n’est déjà as facile de travailler sur un jeu de rôle en temps normal, mais avec une pandémie et un délai très serré, ça l’est encore plus. Alors, heureusement que j’étais bien entouré (à distance et à la maison) pour donner le meilleur de moi-même à cet univers.

Peaky Blinders est une série que j’aime beaucoup et en plus du fait que moi, petit frenchi, je crée LE jeu de rôle officiel, les couchent de stress sont assez épaisses. Il y a eu de nombreuses itérations, des modifications après tests et on arrive sur une version finale qui convient très bien au public ciblé : les nouveaux joueurs de jdr. En effet, les anciens qui y joueront auront un système de jeu, deux scénarios et de quoi avoir une expérience ludique qu’ils pourront continuer avec leur expérience rolistique.

 

Ceux qui sont fans de la série et découvrent le jdr, ça sera pour moi une très bonne porte d’entrée sur mon hobby préféré. Et à force, on pourrait presque dire qu’après D-Start et Koh Lanta jeu de rôle, c’est en train de devenir ma spécialité. Toujours est-il, qu’il me tarde d’avoir le retour des joueurs et joueuses (car les femmes ont une part importante dans le jeu et l’univers Peaky Blinders) qui tiendront la boîte finale entre les mains. Car au final, on peut faire son maximum, être épaulé, mais ne pas avoir fit un jeu parfait (même si je crois qu’aucun jeu ne l’est et que c’est pour ça que je les aime).

En attendant, je continue sur ma lancée ludique et playtests un jeu de plateau qui s’installe dans la licence Stranger Things, toujours chez Larousse.

nb : Pour Peaky, je suis en train de faire une sorte de petit making of que je partagerais, si la qualité est assez bonne.

#jdr #PeakyBlinders #StrangerThings

Pou celles et ceux qui ne le savent pas encore, entre autres choses je travaille en ce moment sur le jeu de rôles Peaky Blinders. Donc, je pousse les autres projets en cours sur le côté pour vous parler cinq minutes de celui-ci.

Nous ne parlons pas là d’un JdR de fan (enfin, un peu tout de même car j’aime beaucoup cette série), mais d’un JdR officiel qui sera publié par Larousse au dernier trimestre 2021. Ce qui avec les temps de validation fait un timing très (TRÈS) serré pour l’écrire et le playtester. D’autant qu’il s’adresse autant aux débutants qu’aux joueurs et joueuses plus expérimentés. Enfin ça, c’est le second challenge : faire simple mais aussi également assez riche.

Sous réserve de modification en cours de projet, le jeu sera proposé sous forme de boîte contenant 3 livrets, un écran de jeu, deux grandes cartes dépliables, des cartes à jouer, des pions représentant les personnages, des fiches de personnages et deux dés (d8 et d12). Je sais que c’est court pour les rôlistes mais je vais tenter de voir si on ne peut pas prolonger un peu le jeu avec du matériel en ligne…

logo Peaky Blinders

Le système de jeu (pas encore validé) se construit autour des dés que l’on lance et on ajoute une des trois caractéristiques : Physique, Mental ou Social. On y ajoute un principe d’occupation (grossièrement un métier) : si l’action tentée correspond au champ de compétences de ce dernier, on lance 1d12 au lieu de 1d8. Une nouvelle petite couche s’ajoute avec le Caractère du personnage : si l’action en cours correspond à son caractère, on lance les 2 dés et on choisit le meilleur résultat. L’idée est d’égaler ou dépasser une difficulté. Voilà pour les grandes lignes : pour les subtilités des règles, il faudra acheter la boîte. L’idée est donc d’avoir une mécanique de jeu simple tout en collant à l’esprit de l’univers.

Aujourd’hui j’ai terminé le premier scénario (on joue les Peaky Blinders) qui permet une courte aventure proposant différentes mécaniques de jeu. Il me reste un scénario un peu plus long dépendant des actions du premier et dans lequel, on interprète d’autres personnes (des PJ plus personnalisables). Je vais donc pourvoir commencer les playtests/ crash test la semaine prochaine si tout va bien.

 

Les femmes ne sont pas oubliées dans l’univers Peaky Blinders, du coup, dans le JdR aussi.

Parce que bon, je dois rendre ça courant mars et ce n’est pas terminé*.

Ce jeu est donc une grosse épreuve, tant par le délai d’écriture que par le fait de ne décevoir personne. Il y a donc un peu de pression, mais pour le moment, tout se passe correctement. Mais au final, même si je boucle tout dans les temps et que le game design roule correctement, il restera la validation des ayants droit… Parce qu’on ne crée pas tout ce qu’on veut dans un univers qui n’est pas le nôtre.

En définitive, quoi qu’il se passe, ça restera une expérience positive notamment parce que mes éditrices me font confiance et parce que, nom d’un petit bonhomme, c’est LE jeu de rôle Peaky Blinders !

 

*Accessoirement, il me reste en même temps : un roman a terminé, deux scénarios de BD à lancer, un scénario pour un autre JdR à écrire et d’autres jeux à créer.

#PeakyBlinders #Larousse #Jdr #FabienFernandez

Le jeu de rôle Koh Lanta, n’aurait pas pu se faire sans Linkedin. En effet, ce réseau social a permis au studio Antartik de repérer mon parcours professionnel et de me contacter. Au début intrigué, j’ai été voir leur site. Ensuite, nous avons discuté de comment nous pourrions créer un jeu de rôle Koh Lanta pour le compte des éditions Solar. Après un synopsis et une liste de souhaits, nous avons élaboré ce qui nous semblait être le mieux pour la licence Koh Lanta, et aussi pour ce type particulier de jeu.

Le jeu de rôle n’est pas un jeu comme les autres. De mon côté, l’univers de Koh Lanta n’était pas dans mes premières envies d’adaptation, mais j’y ai vu comme un challenge. Le dialogue c’est rapidement installé entre Solar, Antartik et moi pour que chacun s’y retrouve au mieux. Et ça, jusqu’aux validations de l’ayant droit de Koh Lanta. Mais en plus de la licence, de la volonté de pousser ce show tv vers le jdr (jeu de rôle), il y avait les contraintes éditoriales. Solar avait besoin que cela rentre dans son format de boites de jdr déjà créées : nombre de fiche, livrets et dé. Pour Antartik, qui supervisait la création, il fallait que cela réponde à ce cahier des charges et en plus, dans un planning un peu serré. Pour ma part, je voulais pousser l’univers au-delà de ses frontières télévisuelles et ludiques.

J’ai donc proposé un scénario d’émission « normale » et un autre dans lequel les personnages sont bloqués sur l’île à cause d’une tempête et doivent survivre ensembles en attendant les secours. Je voulais aussi que les joueurs et joueuses n’ayant pas l’habitude du jdr se questionnent sur le dé dans le coffret : j’ai proposé d’intégrer 2 dés à 10 faces (2d10). Enfin, jai aussi voulu intégrer la X Card*.

Au final, pour des raisons de coûts (et donc d’impact sur le prix du coffret pour les joueurs et joueuses), je n’ai obtenu que 1d10. Pas de X Card mais tout de même quelques lignes pour expliquer les limites de l’interprétation de personnages. Une belle victoire déjà pour moi car cette boîte est destinée au grand public, pas forcément à une population de joueurs et joueuses de jdr confirmés.

Niveau scénaristique, en revanche, il y a eu plusieurs allers et retours avec l’ayant droit et pour des raisons compréhensibles qui ont touché les concurrents et la production de Koh Lanta dans la réalité, nous en sommes restés à des scénarios de type « émission normale ». Néanmoins, nous avons tout de même pu intégrer une pause séparant un gros scénario en deux parties, ou dit autrement : 2 scénarios. À la pause, on peut ainsi dépenser des points pour faire évoluer son personnage, comme n’importe quel jdr.

 

En définitive, cette expérience est très positive pour l’objet final, pour le public touché qui j’espère pourra au moins s’essayer au jdr et aussi pour le professionnalisme de toutes les personnes avec qui j’ai travaillé. Antartik, Solar et William (qui a géré toutes les illustrations), ont été géniaux. Je ne di pas ça à la légère car sur un timing si court (impacté par une pandémie), ressentir un esprit d’équipe où chacun comprend les contraintes de l’autre pour faire en sorte de proposer un jeu avec une licence si importante, c’est assez exceptionnel. J’espère qu’on pourra retravailler ensemble, sous une forme ou une autre. Et j’espère que ce jeu de rôle Koh Lanta plaira aux fans de l’émission et… fera de nouveaux joueurs et joueuses de jdr !

J’ai la chance de faire partie de la super équipe d’aueur.ices de Flyos Games pour le jeu Vampire Chapters Montreal.

Cela va faire environ un an que je travaille sur les scénarios. Entre deux, il y a eu un Kickstarter qui a décroché de nombreux paliers très intéressants. Maintenant, nous sommes dans la phase de production et création.

Pour le moment, je me suis retrouvé à être spécialisé sur les prologues qui sont des sortes de tutoriels. Chaque personnage/vampire a le sien, permettant de tester la mécanique de jeu tout en découvrant l’univers, avant de plonger dans le grand bain du premier scénario d’une longue série.

Chaque scénario court ou plus long, est une suite de scènes se déroulant dans un lieu représenté par une tuile illustrée ou l’on y place pions et figurines. À l’instar du jeu de rôle, on interprète son personnage et on fait des choix afin d’avancer dans le récit. D’un point de vue plus technique et game design, ce sont des scénarios à arborescences. C’est-à-dire qu’il y a un choix multiple qui nous entraîne vers un autre choix multiple et ainsi de suite, jusqu’à une fin. Ce n’est cependant pas un point and click de jeu vidéo, car il faut interagir avec les personnages rencontrés, récolter des indices (en réfléchissant, prenant les bonnes directions et faisant les bons jets de dés), ou encore affronter des adversaires. De plus, à la fin de chaque scénario, on choisit comment faire évoluer la fiche de son personnage. On est véritablement à la frontière du jeu de rôle et du jeu de plateau narratif !

Et ce que j’aime également c’est qu’on est pleinement dans la continuité de Vampire V5 et le Monde des Ténèbres. Ayant été un joueur de la première heure de toutes ces gammes, je suis ravi aujourd’hui d’apporter ma petite pierre à ce grand édifice conçu à l’origine chez White Wolf. Si c’est trop abstrait pour vous, voyez le fan d’un univers qui peut, une fois adulte, y apporter sa contribution. C’est moi ! Et outre la joie de cette création, l’avantage d’être un passionné, c’est qu’on peut agrémenter ponctuellement la création de quelques easter eggs… pour les autres passionnés. J’ai donc à ce jour placé des petits clins d’œil à la gamme officielle du jdr, mais également au jeu de cartes Vampire Eternal Struggle ou encore au jeu vidéo Bloodlines 2. Rien qui n’empêche de jouer si l’on ne les connaît pas, mais des friandises pour ceux et celles qui connaissent et sauront les trouver. Bien entendu, tout cela est validé par les ayants-droits de la licence. Et c’est d’ailleurs un autre plaisir de travailler sur ce jeu : les autres. Outre mes collaborateur.ices, il y a les autres jeux que l’on voit se développer. Chaque éditeur/studio créant en ce moment sur le Monde des ténèbres a cette volonté de partage de la création des autres. Certes, c’est du marketing, mais je trouve que c‘est du marketing positif par l’entraide.

Pour en revenir à Vampire Chapters Montreal, j’ai à ce jour fourni trois prologues : Gangrel, Ventrue et Malkavian. Chacun aborde un axe de mécanique majeure de jeu. Respectivement : le combat, le dialogue et l’investigation. Nous améliorons scénario et game play avec les retours des playtests, mais tous ceux-ci sont positifs et enthousiastes.Et j’attends avec impatience la prochaine réunion afin de savoir ce que l’on va me soumettre comme scénario à créer.

Note : ayant signé une Non Disclosure Agreement, je ne peux vous en dévoiler plus. Tout ce que je peux ajouter c’est que nous travaillons dans un très bon esprit, que nous sommes plusieurs auteur.ices internationaux de front, sans compter les illustrateur.ices qui fournissent un travail de folie. Pour exemple, la tuile du prologue Malkavian était riche de détails mais pour les besoins du scénario, il fallait ajouter un ordinateur : dans la journée c’était fait et de super qualité. Bref, si vous souhaitez en savoir plus, avec des détails officiels, je vous invite à suivre la page Kickstarter du jeu (https://www.kickstarter.com/projects/flyosgames/vampire-the-masquerade-chapters?lang=fr) ou les pages Facebook dédiées à Vampire Chapters Montreal.