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Il est temps de vous parler d’un très bon livre : Loup y es-tu ?

En effet, ce roman de la collection On est prêt, montre une nouvelle fois que Glénat fait les bons choix. Derrière cette belle couverture avec une tête de loup, on découvre une histoire forte, passionnante et bien écrite. On découvre une ado qui se retrouve au cœur de la montagne où le loup, est la clef de voûte d’une communauté humaine. Il n’est pas ici question d’attaquer sommairement ceux qui tuent les loups, il est ici question de la place du canis lupus dans le paysage sauvage et sa proximité dite civilisée. Ainsi, on découvre ces animaux à quatre pattes autant que l’esprit de ces animaux à deux jambes. On s’intéresse, on se questionne et on tente de comprendre tous les points de vue, que cela celui à qui l’homme a volé le territoire, ou celui à qui le loup prend parfois une tête de bétail. Outre un récit bien construit et des personnages forts, il est plaisant que le lecteur ne soit pas pris à partie mais que l’on propose des issues positives pour tout le monde. Et en bonus, un petit article de fin sur la place des loups chez nous aujourd’hui.

Donc, Loup y es-tu ? … lisez-le !

 

lien vers la page officiel du roman : https://www.glenat.com/onestpret/loup-y-es-tu-9782344047026

 

Un petit mot pour vous dire que vous trouverez en librairie deux romans avec mon nom dessus dans la section nouveauté de votre libraire.

En effet, Urban Garden (Glénat) est sorti au début de l’été et Undergame (SNAG Fictions) vient tout juste de sortir.

Table de la librairie MOLLAT

Mais nous n’en avons pas fini de nous croiser avant la fin de l’année car je sors avec les éditions Larousse le jeu de rôle officiel Peaky Blinders sort le mois prochain, et deux jeux de plateau Stranger Things en novembre. Je vous souhaite donc par avance de bonnes fêtes de fin d’année.

 

Pasakukoo, de Roy Braverman (ed. Hugo Poche)

Ça faisait longtemps que je n’avais pas parlé de mes lectures. Pour profiter d’une micropause estivale, j’ai lu d’une traite un très bon roman acheté chez Mollat, à Bordeaux.+

 

couverture Pasakukoo Shutterstock - Victor Merino

couverture Shutterstock – Victor Merino

Polar, suspense, thriller, noir, etc. Les étiquettes ne manquent pas pour ce bon libre. Ça faisait longtemps que je n’avais pas découvert de polar aussi bon. Ceux qui me connaissent savent que je suis fan de James Lee Burke et j’y retrouve ici un peu du polar américain que j’aime lire. Pasakukoo se déroule en Nouvelle Angleterre, entre Boston et Providence, encore un élément pour toucher ma corde sensible de cette région que j’ai visité et aimé.

Et puis, Braverman m’a aussi touché par la qualité de sa plume. C’est superbement bien écrit avec un vocabulaire ciselé comme je l’aime. Je ne connaissais pas cet auteur et donc je vais me trouver d’autres livres de sa main. De plus, c’est un livre de polar parlant d’auteurs de polars et de leurs manuscrits. Ajoutons à cela une voix off de début de chapitre qui joue à gratter le quatrième mur de la narration et on obtient un petit ovni littéraire excellemment bien contrôlé dans son style. En effet, si l’auteur joue avec le quatrième mur, les clichés de l’auteur et ce qui va avec, tout est fait avec parcimonie et justesse, une certaine moquerie, voire peut-être autodérision, mais avec un savant dosage qui n’en fait pas trop.

 

nb : bonus j’aime beaucoup la couverture du livre qui m’a incité à l’acheter.

Mon roman Urban Garden vient de sortir il y a presque un mois aux éditions Glénat.

Ce roman est une « demi-commande ». C’est-à-dire que c’est avant tout une rencontre avec une chouette éditrice qui m’a proposé d –écrire pour cette nouvelle collection #Onestpret mais c’est moi qui est amené mon sujet. Je l’ai écris et c’est le retour éditorial et #Onestpret qui a recentré quelque point pour coller à la collection et perfectionner mon histoire. Pour vous dire, j’ai même du réécrire une bonne partie du roman avec un timing un peu serré pour être dans les clous. C’est toujours difficile d’accepter de revoir sa copie mais j’ai fait confiance à mon éditrice (Aude Sarrazin pour ne pas la nommer) : et vous savez quoi, elle avait raison !

Au passage, quitte à dévoiler un peu les coulisses de cette création (mais j’en ferai probablement un épisode de podcast un jour) , sachez qu’il y avait aussi une couverture totalement différente de prévue…. Celle que l’on découvre dans quelques médias qui ont reçu une version précorrigée en service presse. On est passé de bleu nuit et jaune à vert puissant !

 

 

Urban Garden parle de potager urbain… mais pas que. Comme c’est moi qui l’ai écrit, il y a un environnement très urbain, brut, des relations de gang et surtout des personnes qui se rencontrent et qui vont se découvrir plus ou moins facilement. Je vous l’ai dit, c’est un roman avec ma touche, donc on parle d’humain, de relation interhumaines et d’entraide. Je ne sais pas si j’ai terminé ma « phase » David Simon, un auteur dont j’apprécie grandement es créations mais avec Urban Garden, c’est une nouvelle fois l’occasion de lui faire un clin d’œil même si c’est moins appuyé que dans mon précédent roman Detroit (Gulf Stream éditeur).

En définitive, je suis très content de voir ce roman sortir, pour avoir eu une nouvelle relation professionnelle positive, pour continuer mon aventure éditoriale avec Glénat, et pour être une de ces petites gouttes d’eau de l’action océanique On est Prêt.

NB : même si on parle du mouvement #Onestpret et d’écologie, ce livre est avant tout une histoire.

 

Mon nouveau livre vient de sortir le 4 juin dernier dans toutes les librairies. Si votre libraire ne l’a pas, donnez mon nom, celui du livre et de l’éditeur et hop, c’est commandé en général sous 72h. La force des libraires !

Ce livre parle d’aphasie, de musique, de communication et de reconstruction. Pas de magie, juste une fiction dans la réalité norvégienne. Je vous laisse lire le quatrième de couverture pour en savoir plus.

Je suis assez content d’avoir des premiers retours positifs. En tant qu’auteur, je doute toujours. Disons, je suis sûr de moi en écrivant, sûr de mes compétences pour écrire une histoire (même sinon on n’est jamais à l’abri d’une erreur) mais une fois que ça part en librairie, il y a ce moment de doute : comment lecteurs et lectrices vont s’approprier cette histoire, la recevoir, l’aimer ? Cela fait partie du principe de création : lâcher prise. Donnez tout ce que l’on a, se documenter (pas juste demander à trois copains sur les réseaux sociaux, non faire le boulot, le vrai profond), se donner à fond, retravailler son texte (avec l’aide de son éditeur.ice) et ensuite, déposer le récit sur un petit fleuve qui n’aura peut-être rien de tranquille. Le risque, c’est aussi ce qui fait vibrer. Hésiter, c’est ce qui fait aussi avancer. Et si j’en viens à me tromper dans ce que j’ai fait, et bien au moins jeme dis que j’ai donné le meilleur de moi à cet instant et que je ferais mieux la prochaine fois avec autant d’implication.

NB : au passage merci à mes beta lectrices et mon éditrice Floria pour cette énergie positive déployée pour ce fracas.

Couverture Le fracas du silence, édition Scrinéo

Mais assez parlé de moi, je vous laisse avec deux liens de critiques .

Faith in words : https://faithinwords.fr/2020/06/03/le-fracas-du-silence/#more-22733

Babelio : https://www.babelio.com/livres/Fernandez-Le-fracas-du-silence/1227136

 

Le confinement aide à étoffer la boutique du site. Vous y trouverez notamment Paranormal Agency. Un scénario de jeu de rôle, avec un cadre de jeu,  et des personnages prétirés afin de mener des enquêtes étranges à La Nouvelle Orléans. Ça se joue avec le système dK mais tout est expliqué dedans…

Pour ceux qui ont déjà fait le tour de tous les scénarios de la boîte de D-Start, j’ai ajouté un scénario en ligne (en promo à l’heure de ce message). Vous pourrez y interpréter des ninjas dans : Opération Ninja. Comme ce qu’il y a dans D-Start, il y a tout ce qu’il faut pour jouer : personnage, scénario, et plan (les dés sont eux dans la boîte car c’est plus difficile à faire télécharger).

 

Quant à mes projets en cours, voici une petite liste non exhaustive.

  • Urban Garden: un roman ado que je viens de signer avec les éditions Glénat pour une sortie en 2021. On y parlera d’écologie urbaine…
  • Ayati, tome 3 : Sandra travaille sur les planches et ça avance. Voici aussi un flouté de la couverture car je n’ai pas le droit de la dévoiler pour le moment. Au moins, vous avez les gammes de couleurs. Il est toujours prévu pour le dernier trimestre de cette année car Ayati est plus forte que les virus !

  • Vampire Chapters : après le succès du Kickstarter, j’ai fait une petite pause des scénarios et l’écriture devrait reprendre le mois prochain. Ce qui n’empêche pas la team de continuer à travailler sur d’autres facettes du jeu.
  • Islendigar 2e édition : j’ai donc revu le système de jeu pour l’alléger. Là, je revois le texte pour avoir une véritable v2 en faisant un peu évoluer la chronologie.
  • D-Start exp : l’écriture des scénarios est toujours en cours…. Ça avance.
  • Le fracas du silence : mon roman à sortir chez Scrinéo fin mai si tout va bien. Je viens de recevoir le document final de ma top éditrice Floria. Dès que j’ai le droit, je vous dévoile aussi la couverture.
  • Métal Adventure : comme Arnaud l’a révélé dans sa dernière vidéo live, j’ai la chance de participer à la team scénaristique de ce jeu de rôle. Un petit scénario dans la grande campagne.
  • Tantie Bofruit : mon mini-cadre de jeu pour D&D5 est en train de se boucler en écriture. Il faudra que je trouve des relecteurs mais après c’est maquette. Suivant le timing de production, je mettrais peut-être une première version en pdf dans la boutique avant de lancer un financement participatif.

Et on va s’arrêter là pour le moment. Je reprends mon crédo : tais-toi et bosse avant de parler de ce qui n’est pas signé. Toutefois comme vous pouvez le lire,  le confinement n’a pas que du mauvais.